Том 7. Изборник. Рукописные книги | страница 50
Там, где небо пламенеет,
Туч расторгнувши вуали.
Посмотри в долину, – там
Флюгер маленький из жести,
К стенкам клеятся афиши,
Злость припуталася к лести,
Люди серые, как мыши,
Что-то тащат по дворам.
Восходи же выше, выше,
Высота нужна орлам.
Послание:
Поднимай, строитель, крыши
Выше, выше к облакам.
Пусть снуют во мраке мыши,
Высота нужна орлам.
Heures mélancoliques
«Le jour n'est charmant qu'à sa fin…»
Le jour n'est charmant qu'à sa fin,
Il est calme, le dernier âge.
Croyez bien les paroles sages:
Le jour n'est charmant qu'à sa fin.
Les tumultes vont au matin,
Mèchants Sataniques mirages.
Le jour n'est charmant qu'à sa fin,
Il est calme, le dernier âge.
«Quelle joie, presque enfantine…»
Quelle joie, presque enfantine,
Marcher nu-pieds par le chemin,
Bien qu'un sac léger à la main!
Quelle joie, presque enfantine?!
Bien loin de la fierté maligne
Chanter les hymnes au matin.
Quelle joie, presque enfantine,
Marcher nu-pieds par le chemin!
«Tout défeuillé, comme à Paris en hiver…»
Tout défeuillé, comme à Paris en hiver,
Le boulevard s'étend, devant les fenêtres.
Dans un petit café j'écris ces mes vers
Qui sonnent toujours en pénétrant mon être.
Le voudrais bien être loin, tres loin d'ici,
Dans cette ville de sainte Geneviève,
Où j'oublierai touts mes méchants soucis,
Où je découvrirai l'azur de mes rêves,
Où je trouverai la force de t'aimer,
Ma Bussie, ma malheureuse patrie!
Si je ne reviens à toi jamais, jamais,
Tu sera toujours ma douce rêverie.
Suicide Ardent
Dans cette ville où la mort fangeuse règne,
Croyez vous, bleuâtres feux, que je vous craigne?
Je couvrirai mon poêle avec vous, feux,
Quels que vous ayez èté rouges ou bleux.
M'arrive-t-il l'aventure malheureuse?
Je murmurerai à soi une berceuse.
Le ne veux pas qu'il fasse chez moi tres froid.
Quant au reste, ce tout est égal pour moi.
«En court vêtement…»
En court vêtement
Nu-pieds et nu-jambes
Faisant mes iambes
Le marche gaîment.
La douce poussière,
Si fine et légère,
Prend mes exacts pas
Que sur cette route
Tres longtemps, sans doute,
On ne verra pas.
Silence, silence!
Même le vent dort.
Seul un soleil d'or
Au ciel se balance.
Утешения
«Бессмертною любовью любит…»
Бессмертною любовью любит
И не разлюбит только тот,
Кто страстью радости не губит,
Кто к звёздам сердце вознесёт,
Кто до могилы пламенеет, –
Здесь на земле любить умеет
Один безумец Дон-Кихот.
Он видит грубую Альдонсу,
Но что ему звериный пот,
Который к благостному солнцу
Труды земные вознесёт!
Пылая пламенем безмерным,
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